jeudi 28 novembre 2013

Las Obras completas de Grandizo Munis

Nous signalons sur le site Controverses (Forum pour la Gauche Communiste Internationaliste)  Les oeuvres complètes en espagnol de Grandizo Munis *


"De acuerdo con nuestro proyecto político que tiene entre otros objetivos el difundir, leer y releer, usando el arma de la crítica, las contribuciones procedentes de las diversas corrientes de la Izquierda Comunista, ponemos a disposición de nuestros lectores el imponente trabajo de edición de las obras completas de G. Munis (4 tomos hasta la fecha) realizado por su comité de edición el cual, a través de algunos de sus miembros, colabora en nuestro forum. Señalemos, entre sus contribuciones, un texto sobre las posiciones políticas fundamentales de G. Munis publicado en Controverses / Controversias. En nuestras páginas también anunciamos la existencia de un documental sobre Munis en el que participan los miembros de dicho Comité."


Il faut aussi préciser qu'il est possible de trouver en français.


G. Munis, Oeuvres choisies, 1936-1948, tome 1
http://mondialisme.org/spip.php?rubrique139










Leçons d’une défaite, promesse de victoire - Critique et théorie de la révolution espagnole - 1930 -1939
http://www.sciencemarxiste.com/book.php?id=18&lang=fr











Parti-État, Stalinisme, RévolutionEditions Spartacus, 1975
http://atheles.org/spartacus/livres/partietat/










Voir aussi le documentaire consacré à Munis. (
La Voz de la Memoria 2011 Radikal Films )
http://www.munis.es/?page_id=711&lang=fr

Le communiste révolutionnaire espagnol Grandizo Munis (1912-1989), militant depuis les années trente du siècle dernier dans le mouvement d’opposition au stalinisme qui se réclamait de Lev Trotsky, dirigea le petit groupe révolutionnaire des bolcheviques-léninistes d’Espagne durant la Guerre civile. Emprisonné en 1938 par les staliniens et menacé de mort, réussit à s’échapper au dernier moment et à se réfugier en France et ensuite au Mexique. Pendant la guerre, il développa une réflexion politique qui l’amena à abandonner les positions du trotskisme, en particulier à l’égard de l’URSS, dont il dénonça la nature sociale de capitalisme d’État. Rentré en Europe en 1948, il s’établit en France, où il continua sa lutte pour le communisme en dirigeant le Ferment Ouvrier Révolutionnaire.